Friday, August 26, 2011

FOPLADE-

Volkswagen prêt à investir 1 milliard dans un parc éolien

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Par Isabelle Chaperon Publié Réagir
Le recours aux énérgies renouvelables est une préoccupation de l'ensemble de l'industrie, confrontée aux exigences des accords de Kyoto.
Le recours aux énérgies renouvelables est une préoccupation de l'ensemble de l'industrie, confrontée aux exigences des accords de Kyoto. Crédits photo : Richard VIALERON/Le Figaro
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Les constructeurs misent sur les énergies propres pour renforcer leurs projets de voiture électrique.

La bataille pour les voitures propres passe par les énergies renouvelables. Volkswagen, en tout cas, en est convaincu. Le premier constructeur automobile européen se prépare à affecter 1 milliard d'euros à ses investissements dans l'éolien, selon le Financial Times Deutschland. C'est beaucoup plus que les 600 millions prévus encore en juin dernier par la firme allemande. D'autant que Volkswagen poursuit également des projets dans le solaire ou l'hydraulique.

Coté éolien, le constructeur étudierait des prises de participation dans au moins deux parcs offshore ainsi qu'un partenariat avec un opérateur du secteur. Ces investissements participent à l'effort du groupe, qui souhaite réduire ses émissions de CO2 de 40 % en dix ans. Une préoccupation de l'ensemble de l'industrie, confrontée aux exigences des accords de Kyoto.

Les constructeurs mettent les bouchées doubles. Volkswagen avait bouclé un accord en juillet avec l'énergéticien autrichien Verbund pour que ce dernier lui fournisse 10 % de la consommation de ses usines allemandes à partir d'énergie hydraulique. Son concurrent BMW, lui, a choisi d'implanter 4 éoliennes pour couvrir les besoins énergétiques de son usine pilote de Leipzig. De son côté, Renault a officialisé à la mi-année le lancement du plus grand projet photovoltaïque du monde de l'automobile. La marque au losange entend équiper de panneaux solaires ses usines et autres sites de manutention, soit 450 000 m2 représentant l'équivalent de 60 terrains de football. Renault a aussi recours à la biomasse dans son usine de Tanger. Mais l'intérêt du renouvelable ne s'arrête pas là pour le secteur automobile. L'accès aux énergies propres constitue l'un des éléments stratégique de l'équation que les Volkswagen, Renault et autres Toyota cherchent à résoudre concernant les voitures électriques.

Mobilité verte

Il ne suffit pas, en effet, de s'affranchir de la pompe à essence pour obtenir la précieuse étiquette «véhicule propre». En particulier, les consommateurs souhaitent s'assurer que l'électricité alimentant la batterie est bien d'origine solaire, éolienne et autres. De quoi renforcer les liens entre les opérateurs énergétiques, qu'ils soient producteurs ou gestionnaires de réseaux, et les constructeurs auto.

Peugeot, qui vient de lancer son véhicule électrique iOn, a signé début août un partenariat en Espagne avec Iberdrola. Le géant des énergies renouvelables y commercialise un package «mobilité verte» où il propose un financement pour ­acquérir une voiture électrique, des stations de rechargement et un ­approvisionnement énergétique à 100 % «propre». Les deux groupes se sont mis d'accord pour ­promouvoir mutuellement leurs offres.



El mundo, su naturaleza, los derechos del hombre.Fonds pour les investissements et le développement.FOND DU PLACEMENT PER DEVELOPPEMENT OVERSEAS CORPORATION.

Monday, August 1, 2011

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Mi casa, mi 'container'

Un prototipo de vivienda prefabricada y ecológica se levanta en Griñón

PATRICIA GOSÁLVEZ - Madrid - 01/08/2011


'Containers' TWINS

Los pareados TWINS, que se levantarán a las afueras de Griñón en 2012, son containers de chapa con dos pisos y unos 150 metros cuadrados.-

"Me pidieron que hiciese dos casitas bioclimáticas, pero hice otra cosa". El arquitecto duda de las palabras. "No sé si llamarlo arquitectura; tampoco me gusta 'sostenible". Miguel Ángel Díaz Camacho prefiere tirar de metáfora: "Es como si te piden una perla, y decides hacer la ostra". Para ello contaba con una parcela de 1.000 metros a las afueras de Griñón. Un rectángulo plano y urbanizable, que, como tantos otros, era un descampado varado en la crisis. "Un terreno es una construcción cultural", dice Díaz Camacho. Un pedazo de un pueblo agrícola que en la última década ha duplicado sus habitantes (unos 10.000) gracias a un modelo conocido: chalés adosados -jardín y piscina- dependientes del consumo de agua y el coche.


"Por otro lado, un terreno es una cartografía energética: hidrografía, viento, soleamiento, geotermia, humedad relativa... todo se mapea", explica el arquitecto mostrando planos con la incidencia del sol y los vientos. La parcela forma parte de la Sagra madrileña, una comarca paisajística que pasa de fronteras políticas. "Una planicie castellana de cereal, en la que lo más singular es el viento". Por eso siempre hubo molinos, y por ello las casitas TWINS -que consumen 10 veces menos que los chalés convencionales- tienen aerogeneradores.

Quitando de aquí y poniendo allá, "como hacen los holandeses con los polders", Díaz Camacho moldea el terreno para aprovechar mejor el viento y el sol. En su parcela no hay vallas "que cortan el preciado terreno como si fuese cocaína": "Todo lo que ves es tuyo, aunque solo lo sea una parte, como el ascensor de una comunidad". Fabricada la ostra, "dentro se podría colocar una casa victoriana y ya funcionaría mejor", dice Díaz Camacho. No es el caso. Sus casas son "burbujas" que comparten las instalaciones comunes ocultas en las dunas del paisaje (caldera de biomasa, redes de aire y agua, depuradora). "Además cambian las reglas del juego inmobiliario". Son un kit: un container con 200 componentes. Para cada uno existe un contrato con el fabricante que se compromete a recomprarlos o al menos reutilizarlos cuando ya no se necesiten. "Así, el usuario no está casado con el objeto; te puedes aburrir de tu casa, como del iPhone3, pero te responsabilizas de lo que pasa después con ella". El ciclo se cierra con los muebles (rodantes y plegables) que se encargarán a un ebanista de Griñón.

Falta inventar un modelo de gestión. "¿Comprará el usuario el container y alquilará el suelo? ¿O al revés? De momento solo está claro que quien se mude ha de ser un usuario activo", dice Díaz Camacho. Alguien que cierre y abra ventanas a las horas adecuadas y se mueva por sus 150 metros dependiendo de la época del año. "No es ninguna novedad", dice el arquitecto, "es lo que hacían nuestras abuelas en sus casas de pueblo de Castilla".