Monday, March 29, 2010

FOPLADE-

Une ONG révèle le massacre de plus de 300 Congolais

Mots clés : massacre, rebéllion, République démocratique du Congo, Human Rights Watch

Par lefigaro.fr
28/03/2010 | Mise à jour : 11:55
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Cet homme, habitant de Napopo dans le nord-est de la République démocratique du Congo, porte la cicatrice d'un coup de machette que lui ont infligé des rebelles de la LRA, en février 2009.
Cet homme, habitant de Napopo dans le nord-est de la République démocratique du Congo, porte la cicatrice d'un coup de machette que lui ont infligé des rebelles de la LRA, en février 2009. Crédits photo : AFP

Selon Human Rights Watch, les rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur auraient tué 321 personnes et enlevé 250 autres Congolais dont des enfants en décembre 2009.

L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch a accusé dimanche les rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) d'avoir perpétré un massacre ayant fait 321 morts et enlevé 250 personnes, dont 80 enfants, en décembre 2009 dans la région de Makombo, située dans le nord-est de la République démocratique du Congo.

Selon un communiqué de l'ONG, «le massacre de Makombo, dans le district du Haut-Uélé, est l'un des pires jamais commis par la LRA dans ses 23 ans d'histoire sanglante, pourtant il n'a pas été signalé pendant des mois». Le rapport, qui s'appuie sur une mission de recherche conduite en février par Human Rights Watch dans la région du massacre, «documente les meurtres violents commis lors de l'attaque bien planifiée menée par la LRA du 14 au 17 décembre dans la région reculée de Makombo».

Un religieux congolais, le vicaire épiscopal du diocèse d'Isiro-Niangara Mgr Dieudonné Abakuba, a raconté qu'une trentaine de membres de la LRA ont traversé ces jours-là une dizaine de villages. «Ils ont tué au moins 300 personnes. Ils en ont aussi enlevé entre 200 et 400 avant de disparaître», a affirmé le religieux. Les rebelles «étaient en tenue militaire. Ils ont tué beaucoup de gens sur la route, en les assommant avec des gourdins», a-t-il ajouté.

Jeannette Abakuba, députée provinciale, a également évoqué le chiffre d'au moins 300 morts. «Ils ont tué surtout des hommes, mais il y avait aussi des femmes. Ils ont enlevé des enfants qui allaient à l'école», a-t-elle témoigné.

Extrême brutalité

Human Rights Watch rappelle que «la mission de maintien de la paix des Nations Unies au Congo (Monuc) dispose d'environ 1 000 soldats du maintien de la paix dans les régions du Nord-est du Congo touchées par la LRA - bien trop peu nombreux pour protéger correctement la population. Néanmoins, au lieu d'envoyer d'autres troupes, la force de maintien de la paix, sous la pression du gouvernement congolais pour qu'elle se retire du pays d'ici juillet 2011, envisage de retirer des troupes du nord-est d'ici juin, dans la première phase de sa réduction d'effectifs», alarme l'ONG basée à New York.

La rébellion de la LRA, active depuis 1988 dans le nord de l'Ouganda, est réputée pour être une des plus brutales au monde. Depuis 2005, ses combattants se sont installés dans l'extrême nord-est de la RDC, mais aussi en Centrafrique et au Sud-Soudan. Dans un rapport rendu public en octobre dernier, un collectif de 84 organisations de défense des droits de l'Homme avait déclaré que plus d'un millier de civils avaient été tués et près de 900.000 jetés sur les routes dans l'est de la RDC depuis janvier 2009.



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Sunday, March 28, 2010

FOPLADE- Carta del Papa a Irlanda








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Friday, March 26, 2010

FOPLADE- Crimenes

Los Legionarios de Cristo admiten que su fundador cometió abusos sexuales

El grupo ultracatólico pide perdón a las víctimas de Marcial Maciel, de quien la organización reconoce que tuvo tres hijos de dos mujeres

EL PAÍS | AGENCIAS - Madrid - 26/03/2010

Los Legionarios de Cristo han reconocido hoy que su fundador, Marcial Maciel, abusó sexualmente de seminaristas, y tuvo tres hijos con dos mujeres. La organización ultracatólica reconoce, en un comunicado, que "le ha costado mucho asimilar los hechos reprobables de Maciel" y pide perdón a la víctimas y a aquellas personas que denunciaron al fundador de los Legionarios de Cristo "y no se les dio crédito o no se supo escuchar".
En el comunicado, firmado por el director general y su consejo, la organización "reprueba" los actos de Maciel "y todos los actos contrarios a los deberes de cristiano, religioso y sacerdote en la vida del P. Maciel, y afirmamos que no corresponden a lo que nos esforzamos por vivir en la Legión de Cristo y en el Movimiento Regnum Christi". "Habíamos pensado y esperado que las acusaciones presentadas contra nuestro fundador fueran falsas o infundadas", pero no ha sido así, por lo que "no podemos mirar a su persona como modelo de vida cristiana o sacerdotal", afirman los Legionarios de Cristo.

Los Legionarios reconocen también que el sacerdote mexicano, nacido en 1920 y fallecido en 2008, tuvo una hija "de una relación estable y prolongada" con una mujer, "y otros graves comportamientos", que no citan. También señalan que otras dos personas afirman que son hijos del sacerdote. La organización asegura que tienen que expiar las faltas y el escándalo causado por Maciel y piden a sus miembros intensificar los rezos. "Aceptamos con dolor que ante la gravedad de sus falta, no podemos mirar a su persona como modelo de vida cristiana o sacerdotal", según afirman en la nota. Los Legionarios se comprometen a "ofrecer seguridad" a los menores en sus instituciones.

Los abusos del fundador de los Legionarios de Cristo están siendo investigados en el Vaticano, a iniciativa del papa Benedicto XVI. Este trabajo ya ha concluido que Maciel, muy cercano del Juan Pablo II, cometió abusos, tuvo varios hijos (no se ha determinado el número exacto), plagió descaradamente el libro de cabecera legionario, titulado El salterio de mis días, e impuso a toda la organización un voto de silencio para protegerse de denuncias.




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Sunday, March 21, 2010

FOPLADE-

En Suisse, Leysin se met au vert

Mots clés : Leysin, ski, SUISSE

Par Annie Barbaccia
03/03/2010 | Mise à jour : 09:52
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Crédits photo : DR
Crédits photo : DR

Après avoir installé ses canons à neige en accord avec les écologistes, la station a fait de la protection de l'environnement sa nouvelle vocation.

«Leysin oxygène des Alpes». Son nouveau slogan lui va comme un gant. La petite station vaudoise a viré au vert. Les dépenses énergétiques sont passées au peigne fin et les projets bios vont bon train, depuis l'incitation à utiliser le vélo électrique (toutes les rues sont en pente) jusqu'à la construction d'une usine de biogaz pour le recyclage des déchets alimentaires… Une professionnelle du conseil en énergie et environnement, Isabelle Chevalley, a même été engagée pour diriger les opérations. Le choix de cette jeune femme, active députée «verte libérale» au parlement cantonal, ne doit rien au hasard. Car cette modérée, convaincue qu'«économie et écologie peuvent faire bon ménage», constitue pour Leysin une alliée de choc et une caution forte vis à vis des mouvements écologistes, très puissants dans la Confédération. C'est à cause d'eux, par exemple, que la Suisse a été le dernier pays alpin à fabriquer de la neige de culture. Or, à Leysin, tout a précisément commencé avec l'installation du système d'enneigement. Grâce à Isabelle Chevalley , l'affaire a été rondement mené. Et Télé-Leysin, l'exploitant du domaine skiable, n'a eu qu'à offrir une «compensation».

C'est ainsi qu'est né «le site didactique des énergies renouvables», sorte de sentier à thème en onze étapes : des totems de bois consacrés chacun à une énergie naturelle, présentée chacune en trois langues, français, allemand, anglais. Tracé à 2000m d'altitude dans les alpages, ce parcours un brin surréaliste a été cofinancé par la commune, le canton, Télé-Leysin et deux ONG vertes, Pro Natura et WWF, ravies de l'initiative. Le mérite en revient à René Vaudroz, le directeur de Télé-Leysin : «Nous vivons du tourisme mais l'été, il n'y a pas beaucoup de monde à la montagne. J'ai pensé qu'une attraction dans l'air du temps pourrait en faire venir un peu plus». Gagné : depuis l'inauguration du site, en 2006, le trafic estival de la télécabine qui monte depuis la station a augmenté d'environ 10 %, soit quelque 20 000 personnes de mieux.

En quarante minutes de balade, on apprend ainsi l'essentiel sur l'art d'accomoder le soleil, le bois, le vent, la géothermie, la petite hydraulique ou les biocarburants… A deux pas de l'arrivée de la télécabine, l'accès du parcours pédagogique est facile. Et l'attrait renforcé par le voisinage immédiat du plus haut lieu touristique de Leysin : le Kuklos, un restaurant panoramique tournant. Bardé de panneaux photovoltaïques depuis cet hiver, le futuriste bâtiment de verre et d'acier effectue désormais ses révolutions d'une heure et demi à l'énergie solaire. Une autre batterie de panneaux, thermiques ceux-là et générateurs d'eau chaude et de chauffage, complètera bientôt sa panoplie bio. Enfin, dès l'entrée du restaurant, le public est sensibilisé au problème. Des ampoules basse consommation sont exposées sur un banc lumineux, alimenté en électricité par une petite éolienne plantée près de la porte (l'une des onze étapes du fameux sentier).

Qu'on se rassure, il ne s'agit pas d'un de ces gigantesques moulins à vent qui défigurent nos campagnes. Mais d'un modèle cylindrique «à axe vertical» (sans hélices, il tourne sur lui-même) d'un mètre de haut seulement. L'hiver prochain toutefois, les skieurs en croiseront un autre, du même type mais nettement plus imposant : 14m de hauteur et 2 m de diamètre. Sa production sera injectée dans le réseau électrique commun. Cette deuxième éolienne sera fichée près de la retenue colinaire, le réservoir d'eau qui alimente les 70 canons à neige qui furent à l'origine du virage vert de la station.



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De nouvelles pistes pour améliorer les plantes

Opération anti-OGM de greenpeace, en 2006.
Opération anti-OGM de greenpeace, en 2006. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

Contrairement aux OGM, les transferts de gènes restent confinés à l'intérieur d'une même espèce.

Ils y travaillent d'arrache-pied dans les laboratoires privés ou publics. Aux États-Unis bien sûr, en Europe aussi, en Chine. Les nouvelles technologies destinées à faire évoluer les plantes et à les rendre plus résistantes à la sécheresse et aux maladies, ou encore à améliorer leur qualité nutritionnelle ou tout simplement leur rendement sont sur les rails. S'agit-il de nouvelles techniques de production d'OGM ? La question est en débat au niveau de l'Europe. Un groupe de réflexion avait promis une réponse pour le mois de juin, ce sera sans doute plus tard.

La réponse est très attendue, car le débat sur les OGM dans plusieurs pays européens et particulièrement en France a abouti ces dernières années à des clivages irréductibles. Les cultures d'OGM sont en recul en Europe, selon le rapport publié mardi par deux ONG. «Actuellement, les OGM sont, dans leur très grande majorité, des plantes résistantes aux herbicides ou aux insecti­cides », rappelle Guy Riba, vice-président de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique). Pour obtenir cette propriété, on utilise un mécanisme simple consistant à introduire dans la plante un gène extérieur. Avantage : c'est une technique bien rodée. Inconvénient : «On ne sait pas cibler correctement l'endroit où l'on introduit le gène et on ne maîtrise pas le nombre de copies», ajoute-t-il. «Les produits du transgène peuvent s'accumuler dans les résidus de récolte, dans le pollen ou dans les grains consommés», renchérit Emmanuel Guiderdoni, chercheur au Cirad (Centre de recherche agronomique pour le développement).

Ce qui se trame dans les laboratoires est une tout autre histoire : il s'agit de s'appuyer sur des gènes qui existent déjà dans la plante. «C'est une manipulation beaucoup plus précise du génome qui n'intègre que des séquences utiles dans des endroits précis», poursuit Emmanuel Guiderdoni. Une technique baptisée Sage : sans ajout de gène externe à l'espèce. Pour ce faire, les recherches vont dans trois grandes directions. La première vise à reproduire la sélection variétale classique mais en accélérant le processus. Les deux autres sont de la mutagenèse dirigée. «On modifie un gène préexistant dans la plante pour changer les qualités agronomiques de cette dernière», commente Jean-Christophe Pagès, le président du comité scientifique du HCB (Haut Conseil des biotechnologies). «Prenons l'exemple du manioc africain. C'est une plante très importante mais qui présente l'inconvénient d'avoir des quantités de protéines qui ne sont pas digérées par le métabolisme humain. On pourrait imaginer rendre ces protéines plus diges­tibles, en se servant notamment du manioc d'Amérique du Sud, sans qu'il y ait un quelconque ajout de gène.» Des expériences sont actuellement en cours au Keynia, visant à obtenir du maïs résistant à la sécheresse.

Cela va-t-il permettre de gommer toutes les craintes des opposants aux OGM ? «Cela ne supprime pas la question de la dissémination », prévient Guy Riba. Il n'en reste pas moins vrai que plus on avance dans la recherche, plus on est capable d'éliminer des risques. «Et si l'on dissémine une plante résistante à la sécheresse, c'est tout de même moins ennuyeux qu'une plante résistante aux herbicides», souligne une experte.

Une chose est sûre, plus la science avance, moins il est pertinent de parler «des OGM» et plus il semble cohérent de faire du sur-mesure. Du côté des scienti­fiques, les Français espèrent qu'ils vont pouvoir raccrocher le train de la recherche, mis sous le boisseau après toutes les polémiques. Tous attendent la répartition des fonds du grand emprunt et espèrent récupérer des sommes allouées aux biotechnologies.



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Saturday, March 20, 2010

FOPLADE-

Le Niger, de nouveau face aux menaces de famine

Mots clés : crise alimentaire, famine, NIGER, AFRIQUE

Par Thomas Vampouille
19/03/2010 | Mise à jour : 21:04
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En raison de la baisse de la production agricole, les réserves de céréales des Nigériens sont maigres et souvent déjà épuisées.
En raison de la baisse de la production agricole, les réserves de céréales des Nigériens sont maigres et souvent déjà épuisées. Crédits photo : Abaca

Cinq ans après sa plus grave famine de la décennie, ce pays d'Afrique de l'Ouest se trouve à nouveau en situation de crise. Le gouvernement et les ONG appellent à la mobilisation internationale.

«Urgence pour les enfants du Niger». Les organisations humanitaires présentes dans ce pays d'Afrique de l'Ouest ont lancé un appel à la mobilisation mondiale pour enrayer la crise alimentaire qui frappe cette année près de 7,8 millions de Nigériens, dont plus de 300.000 enfants de manière grave.

En cause, la baisse de la production agricole à laquelle fait face cette année le Niger, de l'ordre de 25% selon l'Unicef. Conséquence : les réserves de céréales sont maigres et souvent déjà épuisées. Or la population doit encore tenir jusqu'à la prochaine récolte, en octobre. C'est ce qu'on appelle la période de soudure, durant laquelle se déclenchent les famines. Une situation qui concerne d'autres pays de la bande sahélienne, touchés par l'irrégularité des pluies. Au Tchad voisin, la crise alimentaire menace également près de 2 millions de personnes, estime l'Unicef.

La famine n'arrive pas d'un seul coup, elle est précédée d'une crise alimentaire. Au Niger, plus de la moitié de la population y est déjà confrontée, dont 20% de manière aiguë. «Les régions du sud-est du pays, notamment, enregistrent un fort taux de malnutrition», détaille Michael Flachaire, chef de mission pour Action contre la faim (ACF) dans le pays. Même en tenant compte des nouvelles méthodes de calcul correspondant aux normes de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui augmentent mécaniquement le nombre de cas comptabilisés, «on peut considérer que le scénario est quasi identique à 2005, voire pire dans certaines zones», analyse l'humanitaire.

Réagir plus tôt qu'en 2005

2005, c'est le cauchemar des ONG. A l'époque, la communauté internationale avait réagi tardivement, ignorant les premiers signaux de la famine qui s'annonçait. Plus de trois millions de personnes avaient alors été gravement affectées par la disette, sans qu'aucun bilan du nombre de morts ait été publié. Point positif dans un sombre tableau, le gouvernement nigérien semble cette fois mieux préparé à la situation. «Il y a eu quatre ans de travail des autorités et des ONG, explique Michael Flachaire. Les personnels ont été formés, il y a un protocole national de prise en charge des enfants.» Le coup d'Etat militaire de janvier dernier semble n'avoir pas eu de répercussions sur ce point. «Les administrations fonctionnent et continuent à collaborer avec les ONG», assure le chef de mission d'ACF.

Au début du mois, la junte au pouvoir a d'ailleurs démarré un plan de soutien, avec une opération de vente promotionnelle de 60.000 tonnes de céréales prélevées dans ses réserves. «La cellule de crise alimentaire du gouvernement a défini un calendrier avec plusieurs phases d'action distinctes», explique Michael Flachaire. Dans un premier temps, il s'agit de permettre à la population d'accéder au marché des ressources alimentaires, soit en baissant leur prix, soit en soutenant financièrement les ménages. Le but : aider la population à se nourrir en maintenant l'économie.

Reste que pour mener à bien ce plan, il faut des fonds. D'où l'appel pressant lancé aux bailleurs internationaux. «C'est maintenant que l'argent doit arriver», insistent les ONG. Dans le cas contraire, la crise se transformera en famine et il faudra alors passer à une action d'urgence, de distribution gratuite de nourriture. Comme en 2005. «Le Niger a besoin d'un soutien international massif», a déclaré le premier ministre Mahamadou Danda, qui estime qu'il manque 91 millions d'euros.



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ANALYSE : une lettre limitée à l'Irlande mais sans précédent

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Rome,

Le vatican a rendu public, samedi à midi, à Rome, une « lettre pastorale » de Benoît XVI adressée « au catholiques d'Irlande » pour tenter d'apporter une réponse à la crise issue de révélations sur des prêtres et des religieux pédophiles.

Le texte étant traduit en six langues, dont le français (voir sur le site du Figaro), chacun peut s'en faire une idée précise. Une première analyse permet toutefois d'en dégager les points forts et les points faibles.

Les points forts :

Lucidité

- Ce texte est sans précédent dans l'histoire récente de l'Eglise car Benoît XVI se livre à une autocritique sans fard des dysfonctionnements ecclésiaux. Si ces affaires ont été cachées pendant des décennies, le pape met directement en cause des évêques à qui il reproche « les graves erreurs de jugement » et « les manquements dans le gouvernement » (n°11). Il partage le « désarroi et le sentiment de trahison » de ceux qui ont pris connaissance de ces « actes scandaleux et criminels » et de « la façon dont les autorités de l'Eglise en Irlande les ont affrontés » (n°1). Il met aussi en cause « une préoccupation déplacée pour la réputation de l'Eglise » qui, « pour éviter les scandales » a eu pour résultat de « ne pas appliquer les peines canoniques en vigueur et de ne pas protéger la dignité de chaque personne ».(n°4).

- Il reconnaît la réalité de la souffrance des victimes se disant prêt à les rencontrer, « je suis disposé à le faire à l'avenir » (n°5). Souvent des « enfants sans défense » ils ont, eux et leurs familles, « terriblement soufferts » (n°6). Non seulement leur « dignité a été violée » mais, en plus, « personne ne vous écoutait ». Il ne s'étonne pas dés lors que « certains trouvent également difficile d'entrer dans une église ». Il ne vient pas donner des leçons mais, dit-il, « je vous demande avec humilité de réfléchir sur ce que je vous ai dit ».

- Il reconnait l'ampleur de la crise. En examinant au n°4 les causes de cette situation il conclut par cette phrase : « il faut agir avec urgence pour affronter ces facteurs, qui ont eu des conséquences si tragiques pour les vies des victimes et de leurs familles et qui ont assombri la lumière de l'Evangile à un tel degré que pas même des siècles de persécution ne sont parvenus à atteindre ».

Action

- Non seulement le pape lance une « visite apostolique » (n°14) c'est-à-dire une inspection générale dans plusieurs diocèses d'Irlande sous la responsabilité d'une personne qu'il va personnellement nommer pour prendre les mesures nécessaires, mais il lance aussi une « mission » de niveau national pour aider l'Eglise d'Irlande à « redécouvrir les racines de votre foi en Jésus-Christ". Il est en effet persuadé que « pour faire face de manière juste aux crimes individuel » les mesures les plus efficaces ne sont pas « suffisantes à elles seules » et qu'il importe de développer une « nouvelle vision ». Il appuie aussi les programmes de préventions actuellement en place.

- Quant aux coupables, qui « ont trahi la confiance placée en vous par de jeunes innocents et par leurs parents », il demande qu'ils répondent « de cela devant Dieu tout puissant, ainsi que devant les tribunaux constitués à cet effet ». « Sans rien cacher » dit-il, « soumettez vous aux exigences de la justice ». Le Vatican a précisé sur ce point que le pape entend ici deux choses. Le recours à la justice de l'Eglise : «il y a eu une tendance (...) à éviter les approches pénales à l'égard de situations canoniques irrégulières » (n°4) sous-entendu, les sanctions du droit canonique n'étaient pas appliquées alors qu'il faut « qu'elles soient appliquées de manière totale et impartiale » (n°11). Le recours à la justice civile : « continuez à coopérer avec les autorités civiles dans le domaine de leur compétence » (n°11).

Point faibles

Victimes

Le pape ne prononce pas le mot « pardon ». Dans la version anglaise il dit à leur intention « I am truly sorry ». Ce qui peut se traduire par « j'en suis vraiment désolé » mais qui peut avoir un sens léger en français et qui ne rend pas, en tout cas, la profondeur du regret de cette expression en anglais. Cela dit il n'utilise pas le mot « demande de pardon ». Personne ne peut toutefois mettre en cause son attention pour les victimes : le pape se dit « profondément bouleversé » ; il partage « le désarroi et le sentiment de trahison » ; il exprime « une douleur sincères pour les préjudices portés à ces victimes » ; il faut « soutenir les victimes et tous ceux qui sont victimes de ces crimes monstrueux » ; ou encore « je vous exprime la honte et le remord que nous éprouvons tous ». Mais beaucoup d'observateurs notaient, samedi, que Benoît XVI ne demande pas formellement pardon ce qui pourrait, sur place, décevoir certaines victimes.

Contexte

En pleine crise allemande, autrichienne et maintenant italienne sur le même sujet, cette lettre ne s'adresse qu'à l'Irlande même si le Père Lombardi qui la présentée samedi a dit qu'elle n'empêchait personne de réfléchir à sa propre situation. Il n'a d'ailleurs pas exclu une lettre similaire pour l'Allemagne. Mais cette lettre ne répond pas à la crise globale d'image et de discrédit dans laquelle toute l'Eglise est aujourd'hui plongée. Non parce que ces affaires - minoritaires et pour la plupart anciennes - toucheraient « toute l'Eglise », mais parce qu'elles affectent « l'image de toute l'Eglise ». Rome le sait mais il est évident que le Saint-Siège ne veut en aucun cas y répondre de façon globale.



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Thursday, March 18, 2010

FOPLADE- Turquía amenaza con deportar a 100.000 armenios
Erdogan advierte que puede expulsar a los trabajadores 'sin papeles' del país vecino.- La condena del genocidio armenio en EE UU y Suecia desata la ira turca

J. C. SANZ / AGENCIAS - Madrid / Ankara - 17/03/2010

Ningún tabú desata más la irritación del nacionalismo turco que la sola mención del genocidio armenio. En una ruda reacción política, el primer ministro Recep Tayyip Erdogan ha amenazado incluso con deportar a los 100.000 sin papeles armenios que trabajan en Turquía.


Sus declaraciones del martes al servicio en lengua turca de la BBC, que han sido amplificadas el miércoles sin mesura en los titulares de la prensa de Ankara y Estambul, se producen en un clima de reconocimiento histórico internacional de la matanza de cientos de miles de armenios cristianos en 1915, en la etapa final del Imperio Otomano. Tras las polémicas votaciones de condena del genocidio armenio en el Comité de Asuntos Exteriores de la Cámara de Representantes de EE UU y en el Parlamento de Suecia, el Gobierno de Ankara ha retirado fulminantemente en el último mes a sus embajadores en Washington y Estocolmo.

"En mi país hay 170.000 armenios, de los que 70.000 son ciudadanos turcos. Ahora cerramos los ojos ante los otros 100.000", ha dicho Erdogan a la BBC durante su visita oficial a Londres. "¿Y que voy a hacer mañana con ellos? Si es necesario, le diré que regresen a su país".

La diáspora armenia, con influyentes comunidades en EE UU y Francia, promueve desde hace años la adopción de mociones parlamentarias sobre el reconocimiento de la existencia del genocidio de 1915. La última iniciativa está precisamente en marcha en el Parlamento británico.

La matanza de 1,5 millones de armenios, en plena descomposición del Imperio Otomano durante la I Guerra Mundial, es uno de los episodios más negros en la historia contemporánea de Turquía. En contra de la mayor parte de los historiadores reconocidos, los gobernantes de Ankara se han empeñado en negar la existencia de un genocidio, y califican los hechos de enfrentamientos armados entre civiles turcos y los grupos armenios que se aliaron con el Imperio Ruso en el conflicto.

La amenaza de expulsión de los sin papeles armenios en Turquía -en su gran mayoría mujeres de origen campesino que trabajan como sirvientas en los barrios acomodados de Estambul- parece haber dado la puntilla al proceso de acercamiento entre Yerevan y Ankara, impulsado por el presidente de EE UU, Barack Obama, y la Unión Europea. El acuerdo firmado el año pasado en Suiza para reanudar las relaciones diplomáticas y reabrir la frontera común terrestre se ha quedado en papel mojado, bloqueado por interminables trámites de ratificación en los Parlamentos turco y armenio.

"Este tipo de declaraciones políticas no ayudan precisamente a mejorar las relaciones entre los dos países", ha advertido el primer ministro de Armenia, Tigran Sarksyan. "Mientras el primer ministro turco se permite hacer eso tipo de comentarios, los sucesos de 1915 seguirán regresando a nuestra memoria". No es para menos, la mayoría de las víctimas del genocidio perecieron en los desiertos de Siria y Líbano tras ser expulsados a punta de bayoneta de pueblos y ciudades de Anatolia que habitaban desde tiempo inmemorial.


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FOPLADE- Nigeria : des chrétiens massacrés dans un village

Par lefigaro.fr
17/03/2010 |

L'attaque est survenue dans la bourgade de Byei, à une quinzaine de kilomètres au sud de Jos, la capitale de l'Etat du Plateau.

Au moins 13 villageois, dont des femmes et des enfants, ont été tués à la machette et brûlés mercredi par des éleveurs musulmans. Une énième poussée de violences dans ce pays en proie depuis 2001 à des conflits interreligieux.

Nouvel épisode de violences interreligieuses au Nigeria. Au moins 13 villageois chrétiens, dont des femmes et des enfants, ont été tués mercredi par des éleveurs musulmans. L'attaque est survenue vers 1h30 dans la bourgade de Byei, à une quinzaine de kilomètres au sud de Jos, la capitale de l'Etat du Plateau. Une zone majoritairement chrétienne et peuplée par l'ethnie berom. Les assaillants, qui seraient quant à eux issus de l'ethnie d'éleveurs fulani (à majorité musulmane, ndlr), étaient déguisés en militaires lors de leur raid, selon ces mêmes sources.

«Je peux confirmer que 13 personnes sont mortes et six autres ont été grièvement blessées. Elles ont été admises dans un hôpital de missionnaires», près de Jos, a déclaré un haut responsable local. «Le gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour traduire les assaillants devant la justice», a-t-il ajouté.

Mercredi soir, sept personnes suspectées d'avoir participé à ce massacre ont été arrêtées en possession d'armes, a annoncé un porte-parole de l'armée, tandis que le gouverneur de l'Etat Jonah Jang a lancé un appel au calme à la télévision.

«Ce que j'ai vu dans le village est très triste, a expliqué un responsable gouvernemental sous couvert d'anonymat. J'ai vu les cadavres de femmes, dont certaines étaient très vieilles, celui d'un enfant qui devait avoir moins de cinq ans, et celui d'une femme qui était brulée, avec un enfant sur son dos.»

Les cadavres «alignés» dans la rue

Auparavant, un journaliste d'une radio locale avait indiqué avoir vu 12 cadavres alignés dans une rue. «Ils sont partiellement carbonisés et portent des marques de coups de machettes. J'ai compté six maisons brûlées et les gens autour de moi pleurent et gémissent», a-t-il décrit à l'antenne.

Alors que selon le journaliste, une cinquantaine de policiers supplémentaires avaient été déployés pour garantir la sécurité des habitants, un élu local a appelé au retrait des forces de l'ordre dans cette région : «Ce serait mieux que les soldats rentrent dans leurs casernes. Nous pouvons nous défendre et nous protéger nous mêmes.»

Déjà le 7 mars dernier, des éleveurs fulani avaient lancé une attaque de nuit contre trois villages majoritairement chrétiens proches de Jos, tuant au moins 109 personnes, essentiellement des femmes et des enfants, selon la police. Cette dernière avait annoncé avoir arrêté 49 fulani, qui avaient expliqué avoir agi en «représailles» après avoir subi des attaques de la part de fermiers berom.

Les violences dans le centre du Nigeria, à cheval sur les zones musulmanes du nord et chrétiennes et animistes du sud du pays, ont déjà fait des milliers de morts depuis 2001 dans ce pays le plus peuplé d'Afrique avec 150 millions d'habitants.


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Friday, March 12, 2010


FOPLADE- Los EE.UU. se mueven para ver la Barbie negro se venden con descuento

Por Adele Smith
11/03/2010 | Actualizado: 16:37 Reacciones (62)
La cadena de supermercados Wal-Mart ha creado la indignación por la venta de una Barbie negro dos veces más barato que la misma barba blanca en una tienda en Louisiana.

Les USA s'émeuvent de voir la Barbie noire vendue au rabais

Par Adèle Smith
11/03/2010 | Mise à jour : 16:37 Réactions (62)


Crédit photo : Mattel
La chaîne de grande distribution Wall-Mart a créé l'indignation en vendant une Barbie noire deux fois moins cher que la même Barbie blanche, dans un magasin en Lousiane.

Martin Luther King n'a pas été assassiné pour qu'on en arrive là ! Les défenseurs des droits civiques américains sont outragés. Le géant des chaînes de supermarchés Wal-Mart a cassé le prix de sa Barbie noire à 3 dollars vendue à côté d'une Barbie blanche à 6 dollars dans un magasin de Louisiane. Les deux poupées, Theresa et Barbie, sont des ballerines en tous points identiques à part leur couleur de peau. Est-ce là une manifestation de racisme de la part du géant de la distribution ?

Un porte-parole a expliqué que les Barbie noires se vendaient moins bien que les blanches. Il s'agissait donc d'une décision purement commerciale. Cela ne se fait pas en Amérique, rétorquent les défenseurs de la cause noire, qui estiment que le prix soldé «dévalue» la poupée noire. Wal-Mart aurait dû accepter de perdre de l'argent plutôt que de perpétuer la profonde inégalité entre races aux États-Unis, clament-ils. Une étude montre d'ailleurs que les enfants des minorités raciales continuent de trouver les Barbie blanches plus jolies.

Mais les fans de Barbie noires peuvent remercier Barack Obama : depuis son élection, Mattel a sorti une nouvelle collection aux traits plus réalistes. La nouvelle Barbie au nez un peu plus large et aux lèvres plus charnues pourrait bien remplacer l'insipide ballerine Theresa dans les rayons de supermarché.


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Wednesday, March 10, 2010

FOPLADE- Suu Kyi ne pourra pas se faire élire
AP
10/03/2010 |

Une nouvelle loi électorale promulguée par la junte au pouvoir birmane empêche la lauréate du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi de participer aux élections générales qui devraient avoir lieu cette année, ont annoncé les médias d'Etat. La nouvelle loi, publiée dans les journaux officiels, empêche quiconque reconnue coupable devant un tribunal de participer aux élections à venir.

Or, la dissidente âgée de 64 ans a été condamnée en août 2009 à trois ans de réclusion et de travaux forcés, peine commuée en une prolongation de 18 mois de sa résidence surveillée, jusqu'en novembre, et confirmée en appel. Elle a passé 14 de ces 20 dernières années en détention.

La date précise des élections n'est pas encore connue.

Les partis politiques qui souhaitent se présenter ont soixante jours depuis lundi pour s'inscrire auprès d'une commission chargée de l'organisation des élections et dont les membres vont être désignés par la junte au pouvoir.

Début 2008, la junte militaire birmane avait annoncé la tenue d'élections générales pour 2010, les premières depuis 20 ans. Les dernières élections en 1990 avaient été remportées par le parti de la lauréate du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), mais l'armée avait refusé de lui passer le pouvoir.

Le parti d'Aung San Suu Kyi ne s'est toujours pas engagé à participer à ces élections. Il conteste la validité de la Constitution de 2008 qui stipule notamment que l'armée conservera un certain contrôle sur le gouvernement ou contient des clauses permettant d'empêcher la participation d'Aung San Suu Kyi.


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Monday, March 8, 2010

FOPLADE- La violencia sectaria causa ya más de 500 muertos en Nigeria
Pastores musulmanes de la etnia fulani asaltaron con armas casas de agricultores cristianos en la ciudad de Jos

ÁLVARO DE CÓZAR / AGENCIAS - Madrid - 08/03/2010


El Ejército nigeriano ha tomado las calles de Jos y de las aldeas cercanas donde los enfrentamientos entre musulmanes y cristianos han causado 500 muertos este fin de semana. Sin embargo, la policía del Estado de Plateau, en el norte de Nigeria, ha informado de que el número de muertos es de 55, informa Efe.

"Los militares están por todas partes y la carretera a Abuja sigue cortada", asegura Gymba, empleado de una granja en la ciudad de Vom, a unos kilómetros de la capital. Jos es la capital de Plateau, en el centro del país. La situación de esa ciudad marca una frontera permeable entre el mundo musulmán y el cristiano.

Pastores musulmanes de la etnia fulani, armados con revólveres, fusiles, metralletas y machetes, asaltaron las viviendas de las localidades de Dogo Na Hauwa, Ratsat y Jeji en las primeras horas de ayer matando a todos los que encontraban en ellas, principalmente mujeres y niños.

Aunque ambas religiones conviven en la zona, los enfrentamientos entre las diferentes etnias se producen últimamente con más frecuencia. El de este fin de semana ha sido entre los fulani (musulmanes) y los deroms (cristianos). La mayoría de las víctimas es de este último grupo.

En el país, los enfrentamientos religiosos se han sucedido en los últimos meses. El pasado enero en la misma zona cristianos armados causaron 326 muertos. Los pastores consideraron este ataque como una acción organizada para asesinar a musulmanes.

El Gobierno de Plateau ha anunciado un funeral colectivo de las víctimas, mientras que el presidente interino de Nigeria, Goodluck Jonathan, se ha reunido con las agencias de seguridad del Estado y ha afirmado que sus efectivos se encuentran en alerta roja.

El Foro Cristiano de Consulta de Ancianos de Plateau ha acusado a los militares de la zona de haber sido cómplices de esta última matanza, informa Reuters.


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Saturday, March 6, 2010

FOPLADE- La moción que reconoce el "genocidio" otomano pone en peligro el pacto entre Turquía y Armenia
Ankara llama a consultas al embajador en Washington.- El Parlamento debe aún ratificar los acuerdos de paz firmados en octubre

AGENCIAS - Washington / Ankara - 05/03/2010

V
"Estamos decididos a seguir a delante con la normalización de las relaciones con Armenia", ha declarado hoy el ministro turco de Exteriores, Ahmet Davutoglu. La aprobación en EE UU de la moción que reconoce el "genocidio" armenio cometido por el Imperio Otomano en 1915, no obstante, ha complicado aún más la ratificación parlamentaria de los acuerdos de paz firmados el pasado octubre entre Ankara y Ereván. La votación ayer, que no recibió el apoyo del presidente Barack Obama, ha provocado la ira del gabinete del primer ministro turco, Recep Tayyip Erdogan, que ha llamado a consultas al embajador en Washington, mientras el ministro armenio de Exteriores, Eduard Nalbandian, ha declarado que "aprecian mucho la decisión".

La moción aprobada por la Comisión de Asuntos Exteriores de la Cámara de Representantes estadounidense no es vinculante y aún debe ser elevada a la consideración de toda la Cámara. Pero para Erdogan, que condenaba ayer la votación antes de conocer el resultado, el daño ya está hecho y las ampollas levantadas podrían paralizar el sí definitivo del Parlamento al pacto por el que Ankara y Ereván se comprometían a reestablecer las relaciones diplomáticas y reabrir la frontera común. Davutoglu, de momento, ha pedido a Washington (donde cuenta con el apoyo del gobierno que no quiere ahondar en la crisis) que bloquee la propuesta que acusa al Imperio Otomano de ordenar la aniquilación sistemática y deliberada de 1,5 millones de armenios".

Enfrentados desde la I Guerra Mundial, Turquía cerró su frontera con Armenia en 1993, a raíz del conflicto entre armenios y azerbaiyanos por el control del enclave de Nagorno-Karabaj, situado en suelo azerbaiyano pero bajo control armenio.



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Tuesday, March 2, 2010


FOPLADE- La veuve de l'ex-président du Rwanda a été libérée

Mots clés : RWANDA, Agathe Habyarimana
Par Thomas Vampouille
02/03/2010 |

Agathe Habyarimana, ici avec son mari Juvenal, lors d'une rencontre officielle à l'Elysée en 1977 avec le président français d'alors, Valery Giscard d'Estaing, et sa femme Anne-Aymone. Crédits photo : AFP
Objet d'un mandat d'arrêt international pour son rôle présumé dans le génocide de 1994, Agathe Habyarimana a été interpellée mardi en banlieue parisienne, puis libérée sous contrôle judiciaire.

Difficile de ne pas y voir une relation de cause à effet. Quelques jours après la visite de réconciliation de Nicolas Sarkozy à Kigali, Agathe Habyarimana, veuve du président rwandais assassiné en avril 1994, a été interpellée mardi à Courcouronnes, dans l'Essonne. Elle est soupçonnée d'avoir joué un rôle dans le génocide. Quelques heures plus tard, elle été remise en liberté et placée sous contrôle judiciaire.

Kigali réclame son extradition depuis 2004 et c'est sur la base d'un mandat d'arrêt international émis par les autorités rwandaises qu'elle aurait été arrêtée, de source proche du dossier. Une nouvelle qui sonne donc comme un gage de bonne volonté envers Kigali, dans un contexte de réchauffement des relations diplomatiques entres les deux pays, distendues depuis trois ans.

«Nous voulons que les responsables du génocide soient retrouvés et soient punis», avait déclaré Nicolas Sarkozy vendredi dernier, lors d'une conférence commune avec son homologue rwandais Paul Kagamé. «Est-ce qu'il y en a en France ? C'est à la justice de le dire. Nous venons de refuser l'asile politique à des personnes concernées et il y a une procédure judiciaire engagée», avait-il ajouté, faisant référence sans la citer à Agathe Habyarimana.

Trois demandes d'extradition vers Kigali refusées

Agathe Habyarimana est souvent présentée comme membre de l'«Akazu», le premier cercle du pouvoir qui a fomenté le génocide, ce qu'elle nie. L'attentat contre l'avion transportant son époux, le 6 avril 1994, est considéré comme le signal déclencheur du génocide, qui fit environ 800.000 morts.

Evacuée par des militaires français vers la France dès les premiers jours du génocide, la veuve du président assassiné était installée en France depuis 1998. En 2007, elle s'était en effet vu refuser sa demande d'asile - déposée en 2004 quand le Rwanda s'est lancé à sa poursuite - par l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA). Ce rejet avait ensuite été confirmé par la Commission des recours des réfugiés (devenue la Cour nationale du droit d'asile), en vertu des Conventions de Genève et pour son implication présumée dans la politique génocidaire du régime rwandais. Une décision définitivement validée en octobre dernier par le Conseil d'Etat.

«Son arrestation est une bonne nouvelle, parce que ça veut dire qu'elle ne restera pas impunie», analyse Michel Laval, avocat du Collectif des parties civiles pour le Rwanda (CPCR), joint par lefigaro.fr. En 2007, le collectif avait déposé une plainte à l'encontre de la veuve pour complicité de génocide «mais l'information judiciaire est au point mort», relève-t-il. «Enfin, on semble donc considérer son cas avec plus d'attention», se félicite l'avocat.

Reste pour la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris à statuer sur la demande d'extradition de Kigali. Si la justice française a autorisé l'extradition de plusieurs Rwandais soupçonnés d'être impliqués dans le génocide vers le Tribunal pénal international (TPIR) d'Arusha, elle s'est en revanche opposée à trois reprises à des extraditions vers Kigali, jugeant que la justice rwandaise n'était pas à même de garantir un «procès équitable» et l'accès à une justice indépendante. Il y a un mois, la cour d'appel de Bordeaux a décidé de renvoyer au 3 juin sa décision concernant la demande d'extradition à l'encontre d'un médecin rwandais accusé d'avoir participé au génocide. En tout, treize enquêtes contre des Rwandais ont été ouvertes par la justice française depuis 1995.


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Monday, March 1, 2010


FOPLADE- Análisis Financiero

USD WELL SUPPORTED BUT REAL STORY IS GBP COLLAPSE
• GBPUSD has collapsed through 1.50 and traded to a 10-month low.
• Canadian Q4 GDP and US February PMI important for USD direction today.
• Rumours over an EU plan to help Greece circle; still EUR follows GBP lower.
• AUD - OIS market pricing in a 60% chance that the RBA hikes today (10:30pm EST).

FX Market Update

The USD is stronger to begin the week as equities put in a robust performance in Asia,
while Europe is up but under pressure along with US equity futures. The Chinese
manufacturing PMI slipped somewhat, missing market expectations, though still
remaining in expansionary territory. The FX leaders today are the USD, AUD and CAD,
while GBP is a stunning underperformer with SEK and NOK also under pressure. •
While the macro financial environment seems to be beginning the weak fairly robustly
as China’s PMI miss is not having a negative impact on equity markets, it is a rather
action packed week on the data front that should provide directional force. Many eyes
will be focused on US ISM manufacturing today, and the non-farm data on
Friday (with ADP and jobless claims coming before). Consensus currently expects –50K
on nonfarm while Scotia Economics has a more optimistic view for a –10K print. Following
last week’s reiteration of a generally dovish viewpoint from Fed Chief Bernanke to
take some of the wind out of USD bulls, the market would be inclined to trade the USD
higher on a sharp non-farm upside surprise. This is particularly so since further out Fed
Funds futures contracts have priced in consistently weaker rate expectations, with the
December contract now pricing in less than 0.5%, down from near 1.1% at
the beginning of January (last week was particularly harsh on future Fed rate expectations).
• However, the USD has shown little propensity to be influenced by the rate
outlook as the rolling 1-month correlation between the 2-year Treasury and the USD
index has remained insignificant for the past two to three weeks. Indeed the USD has a
mind of its own as the USD trade weighted index remained relatively flat over the
month of February, ignorant not only to the rates market, but also to developments in
equities as the USD correlation with global equities has also remained rather insignificant
in recent weeks. Stronger than expected showings on the PMIs and employment
data could provide the USD with another leg higher. • South Korea, which holds the G-
20 presidency this year, has suggested a formal global currency swap arrangement
in order to foster financial stability and remove the incentive for countries
(particularly emerging markets) to accumulate precautionary reserves. The argument is
that this would also help to address global imbalances as countries would not need to
sell their currencies to buy USD assets (thus weakening their currencies), however this
ignores a strong incentive that countries have to maintain weak currencies; an export
boost. S.T.

Americas

USDCAD (1.0540) • CAD is outperforming, though off 0.3% against the USD. The daily
price action is still fairly neutral for USDCAD, without any real trend in play, however
the past two sessions have seen lower intraday highs and lows. It is an important week
for Canada on the data front as today we get a look at Q4 GDP with the market
expecting a very sharp recovery to 4.2% q/q annualized, a view Scotia Economics is in
line with as they call for 4.3%. The Bank of Canada follows tomorrow with markets
expecting a hold at 0.25%, but the most relevant information for traders will be
held in the statement details. Ivey PMI, international trade and housing data also figure
highly but Friday’s employment data will be key. Solid reads on all counts could provide
USDCAD with the impetus it needs to begin another run at parity though the pair will
have to contend with 1.5 month trend support (holding at 1.04 today). S.T.

Europe

EURUSD (1.3530) • Markets were quiet until very early in the North American session, when EUR followed GBP lower and collapsed by almost 100 points. Data from the Eurozone was generally strong, with the unemployment rate dropping to 9.9% and PMI coming in at 54.2. There are several indications that the EU is in the midst of piecing together a plan to help Greece - see Suggested Reading, however there has yet to be any formal confirmation of this. This week it is expected that Greece will launch a €5bn bond sale, the results of which will prove a key test for Greece and EUR. Friday’s CFTC data, highlighted that EUR speculators continue to add to their net short positions as it has grown to 71.6k contracts or $12.1bn.
It hints that EUR traders are unfazed by the extreme positioning and willing to move increasingly short the currency even as the threat of a period of short covering looms. • Over the last seven sessions, EUR has ranged between 1.3444 and 1.3692. We would expect to see the currency hold in this range, however a close below 1.3450 would be bearish. C.S.
GBPUSD (1.4875) • Downward pressure on sterling continues to build, giving the impression that the next crisis could be brewing in the UK. Today the currency has collapsed a further 2.4% against the USD. On a year-to-date basis it is now the worst performing primary currency, having lost 8.0% against the USD and 2.6% against EUR. Friday’s weekly CFTC data, showed an ongoing appetite to build short GBP positions, as there was a 6.7k contract build in the gross short position, which brought the net short GBP holding to $6.1bn. Accordingly, sentiment is
growing increasingly bearish GBP (something we agree with in the short-term) and there appears to be more downside ahead for the currency. Technically, the RSI is at 21, which implies it is approaching oversold levels, however currencies can remain oversold for extended periods. The MACD, candlestick pattern, moving averages and DMI all point to ongoing weakness in the currency. Fundamentally, the combination of a large fiscal deficit, weakness in the financial
sector, the increasing probability that there will be a hung parliament in the spring election and today’s GBP negative M&A announcement (Prudential Plc has made a $35.5bn cash and stock bid for an Asian life insurance company, currently owned by AIG) are all working against GBP. Support comes in at congestion of 1.4775, followed by 1.4500. C.S.

Asia / Oceania

AUDUSD (0.8965) • On the back of broader USD strength, AUD has lost 0.3% against the USD. Today at 10:30pm EST, the RBA will announce its interest rate decision. Of the 19 economist surveyed by Bloomberg, only five expect rates to remain on hold at 3.75%; with the remaining 14, expecting a 25bpts increase to 4.00%. However, the OIS market is only pricing in a 60% chance of a rate hike. Data from Australia has been firm, with employment, housing and retail sales all performing well; however ongoing fears over the strength of the global recovery might provide the RBA with a reason to pause today. This would put downward pressure on AUD. Technically, initial support lies at the 21-day moving average of 0.8877, followed by last week’s low of 0.8801. C.S.
USDCNY (6.8263) • China’s PMI manufacturing came in at 52, which disappointed markets, as it was below expectations and January’s reading (consensus had been for 55.2). A slowing in China will put downwardpressure on risk assets (CAD, AUD and equities) as it will increase concerns over global growth. C.S.


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